Au plus noir de la nuit
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 Hate the sin, love the sinner | June

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Heimdall Alrik
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Heimdall Alrik
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◊ Localisation : Aux côtés d'une sorcière dangereuse
◊ Pouvoir : Chasseur, protecteur des sorcières de la vie.

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MessageSujet: Hate the sin, love the sinner | June   Hate the sin, love the sinner | June Icon_minitimeMar 4 Déc - 21:50



Hate the sin, love the sinner.
June & Vial

« Darkness cannot drive out darkness: only light can do that. Hate cannot drive out hate: only love can do that. »
Thème

S'il y avait eu une chance que Vial voit son humeur s'améliorer pendant le week-end, elle était partie avec la vitesse de l'éclair. Il soupirait, en boucle, alors qu'il faisait son footing matinal. Toujours avant d'aller au travail, pour espérer s'offrir une meilleure humeur et car il n'avait pas eu le temps d'aller à la salle, s'offrant des muscles en chassant plutôt qu'en soulevant des poids. La vampire qu'il avait fini par détruire lui avait donné du fil à retordre, c'était certain. Elle avait écumé les bars, sourire enjoleur sur ses lèvres carmines, boucles brunes rebondissant avec douceur sur ses épaules dénudées. Il avait cru la séduire quand s'était elle qui s'était chargé du travail. Le chasseur était devenu chassé alors qu'elle se glissait dans ses draps et qu'elle parfumait sa peau. Elle l'avait mordu. Il l'avait tué.

Il était obligé de porter une écharpe aujourd'hui et il détestait ça. Pour l'instant, c'était la gorge nue qu'il accélérait, détruisant dans l’œuf les pensées parasites qu'elle avait apporté. Elle s'était fait une place, comme toute bonne succube, comme toute bonne pécheresse et il détestait son cerveau trop humain qui cédait aux envies des immortels. Ses tatouages l'avaient à peine protégé. Il accelera encore, à s'en faire mal, à s'en arracher les cuisses et les abdominaux. Il évita le travail, continua, continua, continua. C'était vain. Elle était si férocement encré là où il ne voulait pas la voir. Elle était morte, son poisson aurait du disparaître. Son cadavre n'existait déjà plus, offert à la morsure du soleil dès que l'aube s'était levée. C'était idiot. Il avait perdu tout en gagnant la guerre.

La fatigue vient assommer ses muscles alors qu'il arrivait au travail. Sans un regard pour l'heure - il savait, parfaitement, qu'il était bien trop en retard - il poussa le portique de verre et prit la direction des douches de l'entreprise, ses vêtements dans un casier, préparés d'avance. Ne restait que cette écharpe qui lui donnait un genre qu'il ne supportait pas et il était fin prêt. Les cheveux encore mouillés, l'air grave, il attrapa son appareil photo et la secrétaire, incapable de se rappeler avec précision de son emploi du temps.

Vingt sept minutes de retard. T'as des records à battre ou tu t'amuses juste ? lança-t-elle, sans un sourire enjôleur, stupéfiant Vial suffisamment longtemps pour être notifié.  Shooting lingerie aujourd'hui. La mannequin a jamais bossé avec nous et elle a l'air ravie de ton retard. Rattrape les pots cassés don Juan et attache moi cette tignasse.

Il leva un sourcil amusé avant de lui offrir son plus grand sourire. Son ton prenait toute sa signification. Jalousie maladive de celui qui s'amusait comme un enfant des mannequins qui défilaient sur les couvertures.... et sous ses draps. Vial lui offrit un dernier air amusé avant d'attraper l’élastique à son poignet et de rattacher ces cheveux sur ces espèces de couette qui ne le quittait plus depuis qu'il avait arrêté cette coupe de bébé qui ne lui allait pas vraiment. Il tourna les talons et se rendit jusqu'à la salle qu'elle lui avait indiqué. Il faisait chaud, obligeant le photographe à défaire les premiers boutons de sa chemise, enfilant l'appareil photo autour de son cou.

Avant de rester bloqué, incapable d'avancer d'un pas lorsqu'il vit la mannequin qui attendait, une maquilleuse penchée sur son visage. Il connaissait les longs cheveux blonds. Ils connaissaient les formes à peine cachées sous la lingerie si fines et attirantes. Ils savaient exactement quel minois allait apparaître sous ses yeux lorsque la maquilleuse se décalerait enfin. Son coeur s'emballa, la rage embrasa ses yeux. Une seconde.

Avant qu'il ne reprenne le contrôle et s’éclaircisse la gorge. Faire comme si de rien n'était. La maquilleuse sursauta avant de s'éloigner de sa poupée du jour. Mentir. Elle était toujours aussi belle, presque encore plus belle. Ne rien dire. Il lui offrit un peine un regard avant de lancer, d'un ton presque trop détaché pour être réel.

On va commencer par les photos en intérieur. On fera celles dans la piscine après.

Professionnel. Trop professionnel pour la maquilleuse qui leva un sourcil interrogatif. Pas le moindre bonjour. Pas le moindre sourire charmeur. Vial était froid comme la Norvège d'où venait la jolie reine des neiges. Et il ne se dériderait pas avant très longtemps. Qu'est ce qu'elle foutait là !  
(c) DΛNDELION
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Abigael O'Connel
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Abigael O'Connel
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MessageSujet: Re: Hate the sin, love the sinner | June   Hate the sin, love the sinner | June Icon_minitimeSam 8 Déc - 22:49



Hate the sin, love the sinner.
Vial & June

« Lie awake in bed at night and think about your life. Do you want to be different ? Try to let go of the truth, the battles of your youth. Cause this is just a game. »
Thème

" Ça pourrait être pire. " ; Telle est ma réplique du moment. Bien que miteux j'ai un toit sur la tête, j'ai de quoi manger, de quoi me fringuer convenablement... et surtout, surtout, je suis loin de lui. Ouai, de quoi survivre tout simplement. Il ne me manquait plus qu'un taff correct pour me faire un peu de thune ; Et au passage pour envisager d'arrêter, ou du moins simplement de ralentir le petit commerce clandestin que je tiens pour revendre les marchandises que j'ai volé. J'ai pas chassé gros depuis longtemps, trop consciente des risques, et me suis remise au simple vol à la tir. Oh ça paye pas de mine dit comme ça mais finalement ça paye bien. Grace à ça je me suis acheté le petit chemisier que j'avais vu dans la vitrine l'autre jour et qui a littéralement séduit mon nouvel employeur. Rah les hommes, tous les même, surtout quand ça touche à la photo. Ouai suffit d'avoir une belle paire de nichons et de fesses, un sourire enjoliveur et un regard sauvage pour qu'il se mette à remuer la queue. Le créateur, loin d'être homo pour une fois, a été clair : « Je veux absolument te voir porter mes tenues ma beauté. » Alors soit, qu'il en soit ainsi, tant que je touches mon chèque à la fin du mois et que le nom de June Eriksen traverse la barrière de ses lèvres lorsqu'il parlera de moi à ses collègues. Ouai je suis bien déterminée à me faire une petite réputation dans la jolie ville de Winterville. A moi la célébrité.

Pas de footing pour moi le matin, et surtout pas seule. J'ai déjà fait le test et ça s'est conclus sur un sprint durant plus d'un kilomètre pour échapper à deux chiens en chaleurs aguichés par mon mini short. Bah quoi? Hors de question de porter un vulgaire jogging et un gros pull pour courir dans la rue, non mais ho! Un peu de tenue et de dignité! Du coup pour moi c'est petit déjeuné équilibré, salle de sport, douche, coiffeur et manucure express ; Tout ça planifié à la minute prêt. Oui je détestes par dessus tout être en retard et suis un tantinet maniaque.

C'est donc pile à l'heure et parfaitement préparée que j'arrives au travail. Je suis accueilli par une charmante secrétaire avec qui je sympathise rapidement ; je sais mieux que quiconque qu'avoir le maximum de personne dans la poche ça peut aider. Il s'en est donc suivit de l'habilleuse, la maquilleuse et le... mais... où est donc le photographe? On me dit d'abord de patienter en m'offrant un thé, puis on finit par s'excuser pour lui, une fois, deux fois, trois fois. Pas que je suis entrain de péter une durite et d'insulter tout le monde comme une diva, mais mes doigts qui pianotent sur l'accoudoir de ma chaise veulent clairement tout dire. Néanmoins, et je ne sais par quel miracle, je restes calme jusqu'à la fin. On m'annonce en effet l'arrivée du retardataire tandis que la maquilleuse s’affaire à ses dernières retouches.

Immobile, je lève les yeux au ciel pour permettre à la jeune femme de me mettre du crayon sans m'éborgner, avant qu'elle ne soit interrompu par un raclement de gorge. Ainsi elle se décale et mon attention se porte aussitôt sur lui. Je souffles alors un « Je rêve... » à peine audible, incontrôlé, tandis que mon cœur s'est arrêté et que mon souffle reste bloqué dans ma gorge désormais nouée. Ouai mon regard d'azur bug littéralement sur la silhouette familière qui prend soin de m'ignorer ; Bon sang Vial a changé, beaucoup changé - De jeune garçon le voici être un homme. De toute évidence, et alors qu'à mon tour je reprends contenance en me mordant l’intérieur de la lèvre, comme pour constater que je n'étais vraiment pas entrain de rêver, moi aussi j'ai changé.

En effet je me lèves de ma chaise, laissant s'étendre mon corps finement sculpté et mes longues jambes dénudées. Je portes une chemise qui retombe sur mes cuisses, recouvrant un peu la lingerie qui mets en valeur mes formes devenues clairement celle d'une femme, ainsi qu'une paire de talon haut agrémentant le tout. Le tatouage se trouvant sur ma hanche, représentant un serpent et une pomme, ainsi que la phrase inscrite à l'arrière de ma cheville, ne font qu'accentuer la beauté de mes sous vêtements. Mes longues boucles blondes sont également attachées en un chignon relevé au dessus de ma tête, laissant aux yeux de tous la bien étrange cicatrice qui marque le creux de mon cou. Ainsi mes doigts vont le défaire pour que mes cheveux ruissellent sur mes épaules et cache ce que j'appelle une atrocité, le souvenir d'un véritable cauchemar, alors que d'autres disent que " ça me donne un charme ". Bon sang si seulement ils savaient.

Quoi qu'il en soit je m'efforce de resté sereine, détachée, alors que sans aucune pudeur je retire la chemise et me dévoile en entière. La première tenue est incroyablement sexy, beaucoup trop sexy d'ailleurs pour porter ces fins bouts de tissus pendant la journée ; Du moins pas quand on n'est pas aussi audacieuse que moi. Ouai, l'audace ça me connait... un peu trop. Je lances en effet soudainement. « Tu mets toute tes mannequins aussi à l'aise quand tu t'apprêtes à les photographier? » Attisant ainsi l'attention et l'étonnement des personnes présentes. Moi clairement à ce moment là j'en ai rien à foutre de leur attention à eux, c'est la sienne que je veux. Bingo! Une fois ses yeux rivés sur moi j'ajoutes aussitôt. « Après un pareil retard un bonjour ça n'aurait pas fait de mal. » Je ne suis pas agressive, bien au contraire ; La malice qui traverse mon regard et pare mes lèvres d'un petit sourire en coin indiquent que je veux "détendre" l'atmosphère. Car oui détendre est un bien grand mot ; Je sais pertinemment que Vial est prompt à me faire la tronche durant toute la séance. Et rien que pour ça je comptes bien l’emmerder un peu... comme avant. Ainsi je relèves le menton, un tantinet provocante, en haussant un sourcil, avant de me mettre en place ; Prête à commencer sous ses ordres.

 
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Shadow's
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Shadow's
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MessageSujet: Re: Hate the sin, love the sinner | June   Hate the sin, love the sinner | June Icon_minitimeDim 9 Déc - 17:28



Hate the sin, love the sinner.
June & Vial

« Darkness cannot drive out darkness: only light can do that. Hate cannot drive out hate: only love can do that. »
Thème

Le regard de Vial s'accroche à cette peau qu'il avait caressé pendant tant de journées, à ce sourire mutin qu'il aimait faire naître, à ce visage que les boucles rendent si doux. Il déglutit, ferme les yeux une seconde et offre à son visage le plus beau des masques. Pourquoi revenait-il pile lorsqu'il commençait à penser à elle ? Pourquoi sa frimousse revenait dans sa vie au moment où il la désirait le moins ? Il voulait se mettre à vivre vraiment, détruire les cicatrices qui n'avaient jamais quitté sa chaire et tirer une croix sur le passé.... et elle revenait, comme un vieux démon qui revenait dans le cimetière qu'elle avait laissé vide et glacé. Son coeur n'était toujours qu'une vieille épave abandonnée, sans amour, sans un peu de vie pour le faire bondir. L’adrénaline guidait les pas du chasseur pour mieux lui faire oublier. Plus jeune, il serait tombé dans les bras des rails.... Mais les souvenirs des moments de manque hantait encore trop ses pensées. Vial vivait dans le passé en hurlant pour apercevoir le futur. Il avait mal.... Il n'en montrait rien alors qu'il réglait le trépier.

Mais Théa n'en a pas fini de lui alors qu'elle se lève et dévoile son corps de rêve. La maquilleuse s'éloigne, sachant parfaitement que Vial préfère laisser sa créativité s'exprimer seule. Théa joue, de ces arguments, de la force qui roule dans son corps et qui a toujours fasciné le blond. Ses boucles s’égrainent avec douceur sur le derme sucré de sa peau, roulant contre ses épaules, rebondissant avec langueur. Elle ne les avait pas aussi long à l'époque où ils étaient ensemble. Ils n'ont jamais été ensemble. Vial garde son visage de glace alors qu'il attrape le deuxième appareil photo qu'il passe à son cou. Ses iris, gelé, se pose sur la mannequin qui lui fait face, tentant de ne la voir que comme une énième demoiselle un peu trop belle et non pas comme cette cicatrice qui perfore avec délectation son coeur. Il refuse de prendre part au jeu dans lequel elle a envie de l'entrainer. Il ne se fera pas prendre une seconde fois, il ne sombrera pas en Enfer à nouveau. Elle l'avait eu, avait joué et lui était tombé amoureux comme le premier des imbéciles. Jeune.... trop jeune pour connaître les sirènes que le monde déversait sur la terre et surtout pour résister à leur chants tentateurs. C'était fini. Ce n'était plus qu'un passé lointain.

Tu mets toute tes mannequins aussi à l'aise quand tu t'apprêtes à les photographier?

Le regard de Vial s'ancre à ses yeux, un sourcil relevé, comme pour juger des mots qu'elle ose lui envoyer au visage. Les sourires charmeurs, les iris emplis d'amour, les airs de benets, tout à bien trop disparu alors qu'il la fixe, sans même de la rage. Vide comme une coquille avec des sentiments qui ne s'enroulent que quelque seconde avant de mieux disparaitre. Oh avec elle il vivait. Et elle lui a tout prit dans un geste qu'il n'a jamais compris, lui brisant le coeur avec une application presque maladive. Il n'était pas encore partie de Norvège.... mais il n'en était parti que plus vite avec cette créature qui l'avait chassé de son monde aussi facilement qu'on chasserait de la poussière.

J'ai appris auprès d'une bonne mannequin. Elle avait l'oeil et nous avons travaillé ensemble... répondit-il, tenant son appareil d'une main. Sa voix ne bougea pas alors qu'il ajoutait, toujours sur ce ton beaucoup trop neutre, exempt de beaucoup trop de haine.
Elle est maintenant célèbre et j'ai la chance d'avoir des clichés uniques d'elle.

Oh non ma belle, je ne parle pas de toi... Et pourtant. Théa était la première à s'être mise à nue devant son appareil, la première à lui offrir de voler son âme à chaque nouvelle photos qu'il prenait. Il refusait, en totalité, tout ce qui avait pu être. Car rien ne serait jamais.

En tout cas, si ça ne te dérange pas, je te laisserais te mettre au travail. Je suppose que tu connais assez bien ce qu'il faut faire.

Non, il ne lui offrirait pas le bonheur d'un bonjour, pas même d'un sourire. Se contentant du plus parfait silence pour meilleure arme. Sans plus un mot, il plongea son oeil dans l'objectif et ne lui laissa plus le temps d'ouvrir la bouche, le flash retentissant et les images s'inscrivant, trop belles, sur l'écran d'ordinateur qui attendait à l'arrière. Vial ne retouchait plus depuis longtemps, d'autre s'en occupant pour lui. Les petites mains quand lui brillait maintenant, de plus en plus haut et de plus fort. Il la laisserait dans l'ombre et préférait la bruler que lui accorder un sourire de trop.... Elle ne l'avait que tant fait souffrir, et, pour la première fois de sa courte carrière, Vial n'était que professionnel. Pas une indication un rien salace comme il pouvait parfois se le permettre. Pas un mot sur sa beauté ou cette ironique perfection. Juste des indications, des demandes d'un autre sourire ou d'une plus belle cambrure. Et le défilé des tenues dont la simple vision aurait dû suffire à le rendre dingue. Il se contrôlait. Il contrôlait tout, jusqu'aux mouvements de ses bras. Il ne verrait rien de ce qu'elle avait réveillé en lui. Il garderait les larmes pour tard.

(c) DΛNDELION
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